Lexique pratique : tout savoir sur l'électricité - IZI by EDF
Lexique pratique pour connaître les bases de l’électricité
Les bases de l'électricité

Lexique pratique pour connaître les bases de l’électricité

Temps de lecture 13 min

Quelle est la différence entre l’intensité électrique, la tension et la puissance ? Qu’est-ce qu’une mise à la terre ? A quoi sert un interrupteur différentiel ? Dans quels cas demander le Consuel ? Toutes les réponses à vos questions sont formulées dans ce lexique pratique sur l’électricité : un index reprenant tout le vocabulaire utilisé par nos pros du réseau IZI by EDF dans le cadre de travaux d’électricité !

A – B – C – D

Appareillage électriqueBoîtier DCLBoîtier DTICircuit électriqueCoffret de communicationCompteur électriqueConsuelContacteur jour/nuitCourant alternatifCourant continuCourant de fuiteCourant électriqueCourt-circuitDiagnostic électriqueDisjoncteur d’abonnéDisjoncteur divisionnaire / FusibleDistribution électriqueDomino

E – F – G – H

ElectrisationElectrocutionFil électrique Gaine technique de logementHorloge modulaire

I – J – K – L

Interrupteur Interrupteur différentielIntensité électriqueInverseur de sourceLiaison équipotentielle

M – N – O – P

Mise aux normes électriquesMise en sécurité électriqueMise à la terreParafoudrePrise de courantPrise modulairePrise RJ45Puissance électrique

Q – R – S – T

Résistance électriqueTableau électriqueTableau divisionnaireTBTSTélérupteurTélévariateurTension

Les concepts clés en électricité

Courant électrique : le courant est un phénomène physique qui se définit par le transfert d’électrons libres dans un corps conducteur ; déplacement rendu possible par la présence d’un champ électromagnétique. Un courant électrique peut être comparé au courant d’une rivière. Le courant électrique se mesure en Volts (V), unité de référence.

Courant alternatif : aussi appelé courant sinusoïdal, le courant alternatif change de direction à intervalles réguliers, appelés cycles. Il est capable de parcourir de longues distances sans déperdition d’énergie. Ce type de courant, utilisé en France pour alimenter votre foyer en électricité, fonctionne à l’aide de transformateurs répartis sur l’ensemble du réseau de lignes électriques. Le courant alternatif est maîtrisable et s’adapte aux besoins des utilisateurs (besoins domestiques notamment).

Courant continu : c’est un courant qui ne circule que dans un sens, de façon régulière, avec une intensité constante. A petite échelle, le courant continu est caractéristique des équipements en circuit fermé (pile, batterie par exemple). Son parcours sur de longues distances est en revanche difficile à maîtriser ; il est aussi responsable de pertes d’énergie. 

Intensité électrique : l’intensité correspond à la quantité de charge électrique dans le temps (ou débit du courant) pour un point donné. L’ampère (A) est l’unité de mesure spécifique à l’intensité d’un courant électrique. On peut là encore reprendre la métaphore de la rivière et de son débit d’eau qui s’écoule.

Tension : la tension désigne la grandeur électrique qui se mesure entre deux bornes d’un dipôle. La tension désigne aussi la circulation d’un courant dans un circuit entre la phase et le neutre. La tension est différente entre le courant alternatif et le courant continu. La tension électrique en France, comme dans la plupart des pays européens, est de 230 Volts.

Très basse tension de sécurité : celle qu’on appelle aussi la TBS est un domaine de tension dont l’alimentation est autonome, doublement isolé, utilisé notamment à la maison pour l’éclairage des pièces humides (salle de bain, salle de douche).

Puissance électrique : correspond à l’énergie électrique échangée, donnée ou reçue, par un corps par unité de temps. La puissance produite ou consommée se mesure en Watts (W) ou dans le cadre de vos consommations d’électricité en kilowattheures (kWh).

Résistance électrique : représente la force qu’un conducteur met pour s’opposer au passage du courant. Elle se mesure en Ohms (Ω).

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Les bases de la rénovation électrique

Mise aux normes électriques : consiste à respecter à la lettre la norme électrique NF C 15-100 (mise à la terre, circuits et tableau électrique neufs, appareillages aux normes, installation d’une GTL, d’un coffret de communication et de prises RJ45…). La mise aux normes est obligatoire pour tout logement neuf. Pour rénover l’électricité d’un logement ancien (ou du moins existant), on parlera davantage de mise en sécurité.

Mise en sécurité électrique : les travaux compris dans le cadre d’une mise en sécurité respectent les minimas de la NF C 15-100 en 6 points de conformité. La mise en sécurité correspond en quelque sorte aux exigences minimales de sécurité électrique :

  1. Présence d’un appareil de coupure générale de l’installation électrique
  2. Présence d’au moins un dispositif différentiel adapté à la prise de terre
  3. Présence d’un disjoncteur de protection pour chaque circuit électrique
  4. Présence d’une liaison équipotentielle dans les locaux équipés d’une bouche ou d’une baignoire
  5. Absence de matériel électrique vétuste (fil dénudé, prise de courant arrachée…)
  6. Protection des fils électriques par des conduits, plinthes ou moulures.

On parle aussi souvent de remise en sécurité selon la NF C 15-100 pour des travaux de rénovation électrique voués aux logements existants (et souvent anciens). Elle consiste à s’adapter aux exigences de la norme pour refaire à neuf et protéger les circuits électriques, remplacer le tableau électrique, respecter le bon nombre d’appareillages (interrupteurs, prises de courant…).

Mise à la terre : désigne un dispositif de sécurité installé dans la grande majorité des habitations (à minima dans les pièces d’eau, et dans toutes les pièces des logements les plus récents). La mise à la terre consiste à envoyer les courants de fuite vers la terre, via une prise de terre, des conducteurs de terre (fils de terre), un bornier de terre et des liaisons équipotentielles pour vous protéger des défauts d’isolement. Plusieurs techniques peuvent être employées pour mettre à la terre un logement : installation d’un piquet de terre, d’une boucle à fond de fouille ou d’un conducteur en tranchée.

Diagnostic électrique : ce document obligatoire pour la vente ou la mise en location d’un logement a vocation à dresser un état des lieux de l’installation électrique d’un bien immobilier de plus de 15 ans d’âge. Le diagnostic rejoint la liste des documents obligatoires à joindre à l’acte de vente ou au bail de location (dossier de diagnostics techniques). Son rôle est d’informer les futurs locataires ou acquéreurs des risques et des manquements qui font défaut à l’installation électrique en place. Le diagnostic n’est en revanche pas contraignant et ne peut imposer la réalisation de travaux d’électricité.

Consuel : désigne aussi bien l’organisme chargé du visa des attestations de conformité des installations électriques (le Comité National pour la Sécurité des Usagers de l’Electricité) que le certificat de conformité électrique lui-même. Concrètement, l’attestation Consuel est un document CERFA demandé par l’auteur des travaux d’électricité, obligatoire pour :

  • Raccorder toute nouvelle installation électrique au réseau public d’électricité
  • Mettre aux normes ou mettre en sécurité le logement dans le cadre d’une rénovation, dès lors qu’il y a eu mise hors tension de l’installation par le gestionnaire du réseau de distribution d’électricité (Enedis)
  • Mettre en place une installation permettant de produire sa propre électricité
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Les éléments clés d’une installation électrique

Gaine technique de logement : celle qu’on appelle aussi GTL désigne un support qui relie (en partant du sol ou du plafond) tous les tableaux de contrôle et les dispositifs de sécurité électrique. C’est en quelque sorte une colonne qui regroupe les arrivées et les départs d’un tableau électrique, d’un disjoncteur d’abonné, d’un compteur électrique et d’un coffret de communication. La GTL n’est obligatoire que dans les logements neufs, installée à bonne hauteur et accessible à tous (selon les exigences de la NF C 15-100). 

Bien que les deux concepts soient proches, attention à ne pas confondre la GTL avec l’ETEL (espace technique électrique du logement). L’ETEL est l’espace réservé aux équipements électriques de puissance et de communication. La GTL est, elle, comprise dans l’ETEL.

Compteur électrique : si vous n’avez aucune base en électricité, la reconnaissance du compteur électrique ne devrait a priori pas vous poser de problème. Le compteur (Linky par exemple) permet de mesurer l’électricité consommée dans votre logement en kilowattheures (kWh). Ce compteur est la propriété du gestionnaire du réseau de distribution d’électricité (Enedis en grande majorité en France). Il peut être installé directement dans votre logement (maison individuelle notamment) ou en dehors du logement (hall d’un immeuble collectif).

Disjoncteur d’abonné : appelé aussi disjoncteur EDF ou disjoncteur de branchement, ce petit boîtier marque la limite d’intervention du gestionnaire du réseau de distribution d’électricité. Il est à la fois défini par la norme NF C 14-100 et la norme NF C 15-100. Installé en amont du tableau électrique ou dans des cas plus rares en limite de propriété, son rôle est de vous protéger et de protéger l’installation électrique au complet, en coupant l’électricité du logement en cas de travaux ou en cas de consommation d’électricité supérieure à celle souscrite par votre abonnement.

Tableau électrique appelé aussi tableau de distribution (ou TGBT pour les distributions électriques à l’échelle d’un bâtiment avec colonne montante). Il désigne boîtier généralement installé dans l’entrée d’un logement regroupe tous les dispositifs de protection des circuits électriques de votre logement (interrupteurs différentiels, disjoncteurs, modules spécifiques). Son rôle est de protéger et d’identifier facilement les circuits (lumières, prises de courant, plaques de cuisson, radiateurs…). C’est aussi le cœur d’une installation électrique, puisque le tableau relie toute la distribution électrique d’un logement.

Deux principaux types de tableau électrique sont installés à domicile : le monophasé ou le triphasé. Le type monophasé est le plus répandu dans les habitations de l’hexagone. Il est adapté aux besoins domestiques et quotidiens : le chauffage et l’éclairage, les équipements électroménagers, la recharge d’un véhicule électrique… Le type triphasé est lui destiné à alimenter des appareils électriques puissants et énergivores : four à pain, machines-outils… En d’autres termes, tout l’arsenal d’une entreprise ou unité de production. 

Tableau divisionnaire : porte également le nom de tableau secondaire, désignant un tableau supplémentaire venant compléter l’installation électrique principale. Le tableau divisionnaire n’a pas vocation à se substituer au tableau principal mais à renforcer l’installation de base lorsque le tableau principal est sous-dimensionné ou pour distribuer l’électricité dans un nouvel espace éloigné du tableau principal (par exemple pour alimenter un local de piscine en extérieur, ou pour une extension…).

Circuit électrique : désigne un ensemble de fils électriques conducteurs et de composants (de type interrupteurs, prises de courant, lampes, appareils électroménagers…) parcourus par un courant électrique. Un logement comporte généralement un circuit dédié à l’éclairage, un circuit dédié aux prises de confort, au chauffage, au ballon d’eau chaude, ou encore des circuits spécifiques à la salle de bain, aux appareils électroménagers (réfrigérateur, plaques de cuisson, machine à laver, lave-vaisselle…).

Fil électrique : le fil est est composé d’une gaine (enveloppe isolante en plastique par exemple) et d’un ou de plusieurs brins en cuivre, matériau conducteur. Son rôle est de conduire l’électricité dans vos circuits. Les fils électriques sont présents partout dans votre logement, néanmoins camouflés par des plinthes ou moulures, couverts par vos appareillages ou dissimulés dans la structure du logement.

Domino : il s’agit d’un dispositif qui relie plusieurs fils électriques entre eux pour assurer la conductivité du courant dans les fils électriques. On parle aussi de bornes Wago : des sortes de dominos à leviers et à plusieurs entrées, plus simples d’utilisation que les dominos classiques. Avec les Wago, les tournevis sont inutiles et la manipulation semble simplifiée.

Appareillage électrique : les appareillages ne sont autres que les interrupteurs pour allumer et éteindre la lumière, les prises de courant et les boîtiers DCL pour un éclairage sécurisé et pratique à utiliser.

Prise de courant : cet appareillage se compose d’une prise mâle en mesure de recevoir une prise femelle. La prise de courant transmet alors le courant électrique à un appareil branché. On parle de prise de courant avec terre (2P+T) dès lors qu’une broche de terre permet d’évacuer les courants de fuite vers la terre.

Interrupteur : il commande (ferme et ouvre) notamment vos circuits d’éclairage et autorise le passage du courant. On distingue les interrupteurs simples des interrupteurs va-et-vient (contrôle depuis au moins deux endroits dans une pièce). Plusieurs modèles sont enfin disponibles sur le marché : interrupteurs à bouton-poussoir, interrupteurs à effleurement, interrupteurs crépusculaires… 

Boîtier DCL : le dispositif de connexion luminaire (DCL) permet de brancher et de débrancher les luminaires au plafond ou appliques murales facilement et en toute sécurité. Ces boîtiers sont obligatoires pour les logements neufs.

Coffret de communication / VDI : cette installation spécifique et obligatoire dans les logements neufs crée un environnement multimédias voix, données & images (VDI) pour assurer une bonne connexion Internet entre autres, dans une habitation. Le coffret de communication est constitué d’un boîtier DTI et de prises Ethernet facilitant le câblage de votre box Internet et reliant un réseau en étoile de prises RJ45 dans les pièces de votre logement. 

Boîtier DTI : désigne un dispositif de terminaison intérieur reliant le réseau téléphonique public au réseau téléphonique de votre domicile. Le boîtier test, présent dans votre coffret de communication, peut à juste titre être utilisé par votre fournisseur ou opérateur téléphonique pour tester votre ligne en cas de problème. On distingue deux types de boîtiers DTI : le DTI en T pour les anciennes prises de téléphone, le DTI format RJ45 pour les logements plus récents (depuis 2008) et le DTIo pour les logements équipés de la fibre optique.

Prises RJ45 : ce type de prise permet de raccorder un ordinateur notamment à une box Internet sans même utiliser le réseau Wi-Fi. Le réseau Ethernet permet une connexion rapide et performante à Internet. Dans les logements les plus récents ou intégralement rénovés selon la NF C 15-100, on retrouve les prises RJ45 dans le salon et dans les chambres.

Inverseur de source : désigne un système permettant de basculer la source principale d’électricité vers une source secondaire en cas de dysfonctionnement (panne de courant par exemple) ou par souci de préservation de l’installation électrique (capacités et puissance). On pense notamment aux maisons subissant à répétition des pannes de courant en milieu rural. On pense également aux dispositifs de recharge électrique ou de production de chauffage importante et énergivore (pompe à chaleur par exemple) à mettre en marche en alternance…

Liaison équipotentielle : il s’agit d’un dispositif permettant d’annuler les différences de tension et de conduire le courant jusqu’à la terre en cas de contact avec des éléments métalliques. Elle supprime en cela tout risque d’électrocution pour l’occupant qui manipule de huisseries en métal, touche une canalisation ou une baignoire en métal par exemple. On distingue la liaison équipotentielle principale (vaut pour l’habitation dans son ensemble) de la liaison équipotentielle locale ou secondaire (vaut pour chaque pièce du logement).

Distribution électrique : désigne ce qu’on peut aussi appelé par réseau ou acheminement électrique ; en d’autres termes tous les câbles électriques de vos circuits partant du tableau. La distribution peut être apparente : les câbles circulent dans des moulures, des goulottes ou des plinthes fixées aux sols, aux murs jusqu’au plafond. La distribution peut être aussi encastrée, c’est-à-dire intégrée dans vos murs, sols et plafonds, via des saignées. Les fils électriques sont invisibles, recouverts d’un revêtement. Cette méthode est privilégiée dans le cadre d’une construction. La pose semi-encastrée désigne enfin un entre-deux, idéal pour un projet de rénovation électrique. L’acheminement électrique est partiellement encastré, partiellement apparent sous goulotte.

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La composition type d’un tableau électrique

Interrupteur différentiel : module installé en tête de rangée du tableau électrique. L’interrupteur est composé d’un levier qui s’abaisse instantanément et coupe l’électricité en cas de problème de courant de fuite (différences d’intensité) et en cas de contact direct avec le courant. Il est donc indispensable pour la protection des personnes. Deux types d’interrupteur différentiel sont généralement installés à domicile : le type A et le type AC. Le type A est réservé aux appareils énergivores (plaques de cuisson, lave-linge, prise de recharge pour véhicule électrique). Le type AC convient davantage à des circuits moins énergivores (lumières, prises de courant par exemple).

Disjoncteur divisionnaire ou fusible : module installé tout au long d’une rangée de tableau. Ces dispositifs de sécurité protègent vos circuits électriques contre les surintensités et les courts-circuits. Chaque circuit doit faire l’objet d’une protection adaptée, indiquée par la norme NF C 15-100 : par exemple un disjoncteur 32A pour des plaques de cuisson, un disjoncteur 20A pour un ballon d’eau chaude, un disjoncteur 16A pour des prises de confort. A la différence du fusible qui s’autodétruit, le disjoncteur est réarmable, une fois le défaut éliminé.

Parafoudre : module spécifique installé au tableau, obligatoire dans certains départements français présentant un risque orageux important. Le parafoudre (à ne pas confondre avec le paratonnerre) permet comme son nom l’indique de faire barrage à la foudre, pour protéger votre installation des surtensions électriques.

Contacteur jour / nuit : module spécifique installé au tableau, optionnel. Le contacteur permet de relier et de commander la mise en marche de certains équipements énergivores la nuit lors des heures creuses (si souscription d’un abonnement HP/HC) : la machine à laver, le chauffe-eau… Ce module est surtout pratique pour réaliser des économies d’énergie.

Horloge modulaire : module spécifique installé au tableau qui définit les horaires de mise en route et d’arrêt des appareils électriques de votre logement, en particulier les appareils énergivores (chauffage, lave-linge, lave-vaisselle, ballon d’eau chaude…). L’horloge peut remplacer le contacteur jour/nuit. L’idée est notamment de pouvoir programmer les horaires de chauffe de votre logement, sans avoir forcément contracté un abonnement d’électricité HP/HC.

Télérupteur : module installé au tableau électrique, qui permet de personnaliser l’éclairage de votre logement à plusieurs endroits. En d’autres termes, le télérupteur permet de commander une lampe à partir de plusieurs interrupteurs.

Télévariateur : module installé au tableau qui permet de faire varier l’intensité de l’éclairage dans votre logement, à l’aide d’une molette remplaçant l’interrupteur classique, ou bouton poussoir. Le télévariateur est pratique pour moduler l’éclairage selon l’ambiance souhaitée (tamisée, cocooning…) ou le moment de la journée (matin, fin d’après-midi, soir…). Le gadget permet également de faire au passage quelques économies d’énergie.

Prise modulaire : cette prise de courant est installée à même le tableau électrique, ou au sein de la GTL. Elle permet de brancher n’importe quel type d’appareil lors de travaux de rénovation électrique ou une box Internet de manière permanente, qui serait reliée au tableau de communication.

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Les risques électriques

Court-circuit : désigne une connexion entre deux points de potentiel électrique ; un risque électrique qui peut engendrer des dommages matériels et/ou corporels.

Courant de fuite : désigne un courant qui s’écoule à travers les conducteurs d’un circuit ou d’un élément métallique. Le courant de fuite est provoqué par un défaut d’isolation ou l’humidité, et cause une perte de charge électrique. Il peut être dangereux pour les personnes et justifie la présence d’interrupteurs différentiels et de prises de terre (mise à la terre du logement).

Electrisation : c’est l’état d’un corps électrisé, c’est-à-dire chargé d’électricité. L’électrisation est le passage d’un courant électrique dans le corps humain. Les conséquences peuvent être parfois très graves : brûlures, traumatismes, tétanie, asphyxie….

Electrocution : étape supérieure à l’électrisation pouvant conduire au décès de la personne touchée (arrêt cardiaque, asphyxie mortelle par exemple). L’électrocution dépend en somme de plusieurs facteurs, notamment la durée d’exposition à la décharge électrique, la résistance du corps humain, la tension (mesurable par le biais d’un multimètre), le type de courant…

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